Les trois facteurs pour “lire” la Communication Non Verbale

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Il y a trois éléments il faut tenir compte quand on veut lire la CNV pour éviter de se tromper. On va le voir en bref :

1) Contexte

La première chose qu’il faut observer est le contexte dans lequel on parle et dans lequel on peut observer les messages de CNV qui se présentent. Voilà deux exemples qui sont plus utiles des mots. Un homme qui parle en face d’un autre avec ses bras croisés peut apparaître in une situation de fermeture. Mais en observant le contexte on remarque que les sujets sont dehors, qu’il y a beaucoup des enfants autour d’eux et que ces enfants ne permettent pas à l’homme d’écouter son ami. Les bras deviennent donc une barrière non pas pour l’ami ma pour les nuisances sonores des enfants et en plus les bras croisés sont un geste d’écoute et de concentrations.

The three factors to “read” the Non-Verbal Communication

2) Somme

À chaque fois que nous observons les attitudes de quelqu’un la règle est d’additionner tous les éléments que nous remarquons, plutôt que juger sur la base d’un seul particulier. Un homme en asseyant avec ses bras sur la table, il montre un signe d’ouverture, mais il tient aussi les jambes croisés en dessous de la table. En observant cet attitude nous comprendrions qu’il n’a pas confiance en ce que son interlocuteur est en train de dire et qu’il a des doutes. En n’envisageant qu’un de ces deux éléments nous déduirions une seule attitude et nous risquerions de nous nous tromper sur notre interlocuteur.

3) Cohérence

Il faut observer les cohérences et les incohérences parmi les différents signes verbales et non verbales d’un sujet. À chaque fois que nous voyons une incohérence nous avons une doute à lever ; la seule façon de le faire est de continuer à observer et poser questions. Voilà un exemple. Un homme se présente chez un ami avec un gâteau au chocolat en n’offrant une part. Son ami répond qu’il ne la veut pas mais en faisant oui de la tête il montre son incohérence intérieur. L’homme, qui devrait avoir compris l’incohérence, peut demander par exemple : «Tu ne la veux pas à cause d’un régime et tu penses que ce serait mieux si tu ne la manges pas ? ». Si l’ami fait oui de la tête le problème est résolu et l’homme sait que son ami veut le gâteau mais qu’il préfère y renoncer pour rester fidèle à son régime.

Luca Brambilla